Sabine Helder-Degenhart : flûte à bec harmonique
Maarten Helder : flûtes à bec harmonique et basse
Joseph D'Onorio : guitare

Sabine Helder et Joseph D’Onorio jouent ensemble depuis 20 ans sous le nom Duo Tournesol, rejoins récemment par Maarten Helder.

Au programme : Œuvres de J.S. Bach, W.F. Bach, G.B. Bononcini et airs traditionnels de Russie, d'Irlande et  d'Amérique du sud.

Entrée Libre
Réservation indisensable
03 89 76 48 46

Biographies :

Sabine Helder-Degenhart :
Musicienne, professeur de musique.
Elle a fait ses études à la Schola Cantorum Basiliensis avec Hans-Martin Linde (flûte à bec) et Oskar Peter (flûte baroque). Elle termine avec un diplôme de soliste en 1976.
Professeur au Conservatoire de Zurich pendant quelques années, elle enseigne aujourd’hui à l’école de musique centre de Thann.
Concerts en Suisse, Allemagne et en Ukraine avec la Philharmonie de Lviv en 2011 et en Alsace avec le flûtiste de pan Ihor Matselyuck et l’organiste Olenka Matselyuck à la collégiale de Thann pour l’AROC en 2010.

Joseph D’onorio :
Il joue de la guitare classique depuis 40 ans. Elève d’Alberto Ponce il obtient la Médaille d’or au conservatoire de Colmar. Il enseigne son instrument aux écoles de musique de Thann, Cernay et Guebwiller. Il forme un duo avec Sabine Helder depuis 20 ans.

Maarten Helder :
Musicien, luthier, informaticien.
Né à Amsterdam il fonde un ensemble baroque à l’université de cette ville.
Après des études de lutherie à Londres il ouvre son atelier de facture de flûtes à bec en France en 1979. Inventeur de la flûte à bec harmonique, un instrument révolutionnaire qui est aujourd’hui joué dans le monde entier par des joueurs professionnels. Avec une étendue égale à celle de la flûte traversière cette flûte permet aux flûtistes à bec d’aborder un vaste répertoire.
Partenaire de duo avec Sabine Helder depuis 30 ans il a rejoint le Trio Tournesol récemment. Le Trio lui permet de montrer les possibilités de la flûte à bec harmonique.

Entrée libre
Réservation indispensable
03 89 76 48 46

Aujourd’hui la poésie est revendiquée par bien des arts qui en font parfois même un argument publicitaire. C’est un grand paradoxe de notre société puisque les médias courants ont limité la présence de la poésie, en tant que telle, au strict minimum. Cela créerait-il une frustration qui incite à parer tous les autres arts de ce « plus poétique » qui séduit ? Ou, la poésie serait-elle une expression universelle qu’on retrouve dans l’expression de tout art, du moins quand il touche l’âme du spectateur ou de l’auditeur  par l’émotion qu’il suscite ?

Jeudi 20 mars, Jean Marie Rohé, tentera d’apporter une réponse par la lecture de poèmes qu’il a écrits au contact d’autres arts dont certains inattendus par leur choix.

Des intermèdes musicaux joués à la guitare par Pauline Galizia et Louise Bannwarth , élèves de l’école de musique de Thann, permettront de passer en douceur d’un art à l’autre et de rendre la présence de l’artiste complice avec l’expression poétique.

Dans le prolongement de ces évocations, Annie Costant, partenaire récitante en poésie dans le cadre des activités des Vers Grisants, donnera la réplique à Jean Marie Rohe, par la lecture de quelques passages poétiques du livre « l’Alsace, 365 jours », paru récemment.

Cette lecture sera illustrée par la projection des images qui montrent que l’art de la photographie se met au service de la nature et de la poésie. En effet Guy Wurth et Jean Philippe Jenny, auteur des clichés du livre on fournit à Jean Marie R. un matériau artistique d’une extrême  richesse, qu’il a honoré par l’écriture de textes  magnifiant leurs belles images. Quand  les arts se rencontrent, la poésie n’est jamais loin. Elle surgit pour révéler celle qui transcende l’œuvre originelle déjà existante.

Entrée libre
Réservation indispensable
03 89 76 48 46

BIO :

Vesnica Martin-Hajpek, poétesse, artiste peintre et sculpteur, est née en Croatie. Depuis 1984, elle est installée à Aspach.

Avec sa peinture, elle essaie en quelque sorte d’arrêter le temps, de faire partager des émotions ressenties à autrui, mais également de traduire et transmettre un état d’âme, une certaine poésie douce et vitale.

Depuis 15 ans, elle sculpte des personnages sortis du monde elfique, des sculptures en céramique, en majorité des femmes, qui peuplent la littérature mythologique sortis d’un monde de songes. C’est à l’atelier de la céramique de Morschwiller-le-Bas qu'elle a fait la connaissance du raku, une méthode japonaise de cuisson de la terre.